~Votre personnage~

Nom: Ikken
Prénom: Akari
Surnom: Aka - Ri - PomPom
Age: 17 ans
Sexe: ♀
Groupe: Ombre
Métier (pour les adultes): Haaaan !
Niveau scolaire (pour les étudiants): °° Pif Paf Pouf... Première ? °° [Bah ouais, c'est dur quand on est belge T_T]

Son histoire

Journal d’Akari Ikken. Mars 2000.

« Tenir un journal, voilà à quoi j’en suis réduite pour me distraire. Je m’appelle Akari, Akari Ikken. D’après ma mère, mon prénom voudrait dire « Clarté ». Je ne sais pas ce que j’éclaire mais ma mère m’a dit qu’elle avait voulu ce prénom en particulier en partant du fait que je suis née au milieu d’une nuit d’hiver. Elle me dit que j’étais la seule lumière qui la fit sourire ce jour là. Ma mère, elle est belle. Elle me ressemble, encore et toujours. Quand on nous croise dans la rue, on nous prend pour des jumelles. Elle a les mêmes cheveux roses et longs que moi, la même taille et la même grâce. Mais elle a les yeux verts. De splendides yeux verts comme l’herbe d’une prairie bien grasse. Les miens sont bleus azurs, comme ceux de mon père. Mon père. Je ne le connais, je ne vois son visage qu’à travers les photographies prises avant qu’il quitte ma mère. Il ne voulait pas d’enfant. Avant je ne comprenais pas, mais maintenant, je sais. Les enfants, ça pleure, ça hurle, c’est capricieux, c’est rouge, c’est boursouflé. Je n’aime pas les enfants. Ou du moins, pas tous. Il y en a, comme ma voisine, que je supporte.
Mon nom de famille signifie « première rencontre ». Ce nom aussi me pose une colle. Je ne rencontre jamais personne en premier. A vrai dire, je ne rencontre personne. Je côtoie les mêmes filles depuis dix-sept ans, je rencontre les mêmes garçons. Personne ne passe par moi pour une première rencontre avec quelqu’un. Et pour dire vrai, je m’en moque, ce n’est qu’un nom de famille. »

Journal d’Akari Ikken. Avril 2001.

« Je suis amoureuse. Prise au piège dans un sentiment douloureux, conduisant à la folie pure. Je ne pense qu’à lui. Je ne pense qu’à ses cheveux blonds, ses yeux verts. Il est nouveau dans ma classe, il arrive d’un coin du Japon. Oh ! Je sais qu’il ne s’intéressera pas à moi, je sais que l’on ne me verra pas, juste coincée être mon banc et ma chaise, cachée derrière un rideau de cheveux roses. C’est impossible et pourtant, les dieux m’offrent une chance. La seule place libre, c’est à côté de moi. Ne me demandez pas pourquoi la place libre est à côté de moi. C’est que dans mon groupe d’amies, nous sommes un nombre impair, donc pour les places, ça ne va pas trop. Et pourtant, c’est à côté de moi qu’il s’assied. Il sent bon, vraiment bon. Et il est si doux. Il n’a pas peur de me parler, comme les autres, ce qui énerve les gens. Certains murmurent, d’autres rigolent. Ca ne leur plait pas mais moi ça me plait.
Je suis amoureuse. Mon cœur a été capturé dans un étau et se fait lamentablement tordre. J’abandonne. Je jette l’éponge. Je bats en retraite. Il y a des filles plus jolies que moi. Je me cache derrière une crinière rose, je baisse constamment mes yeux azurs. Et pourtant, je sens son regard épouser les courbes de mon corps. Mais je me fais des idées car dès que je lève les yeux, son regard disparaît entre les pages de son manuel. »

Journal d’Akari Ikken. Mai 2002.

« Un an et un mois. Un an et un mois que mon rêve s’est exhaussé. Il m’a vu, il m’a parlé et… il m’a embrassé. C’était doux et simple. Mon cœur me remontait dans la gorge, je sentais les battements me déchirer le larynx. Mon ventre semblait creuser un tunnel avec mes intestins afin de disparaître. L’amour, ça fait mal. Et pourtant c’était doux. Ses doigts épousant les formes de mes hanches, épousant les formes de mon cou, de mes oreilles. J’en frissonne encore. Et pourtant, c’est bien fini. On a tout plaqué, on a tout laissé tomber. Notre histoire n’a plus aucun sens, elle est sans dessus dessous. A mes yeux rougis par les larmes, il n’existe plus. A ses yeux non plus, je n’existe plus. On s’est juste dit qu’on resterait amis. Et pourtant, on ne se parle plus. C’est grâce à lui que j’ai de nouveau confiances en moi. C’est grâce à lui si je me trouve un peu plus jolie. Mais c’est à cause de lui si je me sens nulle. Tout ça s’est passé si vite. Du jour au lendemain. On avait pour habitude de se retrouver dans la bibliothèque de l’école. Dès qu’il arrivait, je levais mes yeux du livre que je feuilletais en attendant. Dès que je levais les yeux, il me volait un baiser. Mais pas cette fois. Il est arrivé et j’ai levé les yeux en comprenant que quelque chose n’allait pas. Ses yeux étaient rouges et une ombre, que je ne leur connaissais pas, avait fait son nid, noircissant le vert émeraude de ses yeux.
Dès qu’il entre, le soleil disparaît. Il doit partir. Il doit me quitter, tout lâcher, défaire les liens qui l’attachent à cet établissement scolaires. Il doit couper la ficelle rouge amour qui me retient à lui. Je ne veux pas mais il prononce une phrase qui me fait tout oublier. « Soyons juste amis. ». Le temps s’arrête, le ciel se déchire et un éclair s’abat sur la ville. Je n’ai pas le temps de crier son nom. Il est parti. »

Journal d’Akari Ikken. Juin 2003.

« Il est parti mais mon cœur bat de nouveau. J’ai rencontré quelqu’un que je ne connais pas, que je n’ai jamais vu mais que j’aime. Il m’a bousculé en sortant du métro, faisant ainsi tomber mes livres. Il s’est penché alors que je restais de marbres, interdite. Son chapeau m’inspirait. Il était haut, comme le chapeau des messieurs anglais. Il me faisait pensé au Chapelier Fou dans Alice in Wonderland. Je tendis une main blanche et tremblante vers le chapeau de l’inconnu mais il a tourné la tête au mauvais moment. Il me regarde, comme si je ne portais aucun vêtement. Je laisse tomber moelleusement ma main contre ma jupe. Soulagement. Il me sourit. Et là, je fonds, littéralement, bien sûr. Il me tend son chapeau en me disant que j’aurais l’occasion de le lui remettre bien assez tôt. Je cligne des yeux, je regarde le chapeau et je ne le vois pas partir, mes livres empilés sur le sol. Je les ramasse, le cœur heureux et je rentre en courrant vers chez moi.
Arrivé à la maison, ma mère n’est pas là, seul reste un papier. « Occupe-toi bien de toi ma fille, je m’en vais. ». Elle se dégonfle, me laisse tomber. Soudain, la vie m’apparaît différemment. »

Journal d’Akari Ikken. Juillet 2004.

« Je craque. J’en ai marre. Il ne se passe rien ici, je prends le même train-train tous les jours, je m’ennuie. »

Journal d’Akari Ikken. Août 2005.

« Je me suis éveillée dans un lit, la tête vide. Mes souvenirs se sont effacés, je ne me souviens de rien. Hors, le chapeau est à côté de moi. Et, son détenteur aussi. Je ne me souviens que de lui, que de cet homme qui a ramassé mes livres à la sortie d’un métro, que de cet homme qui avait disparu. J’ai pris le chapeau et je le lui ai tendu.

- Je devais vous le rendre. »

Sa description physique

Yeux : Au premier regard, ses yeux attirent, brillent et incitent à l’approche. Ses iris, parfaitement rondes, ont une couleur exceptionnellement azure. Mais pas un bleu aussi normal. Un bleu comme celui du ciel, des t-shirts fluorescents, un bleu comme celui des mers du pacifique, un bleu clair et pétillent. Elle n’hypnotise que rarement les gens ayant la chance de croiser son doux regard. Sa paupière, pouvant faire disparaître le monde le temps d’un battement de cils, est ouverte comme les yeux d’un enfant découvrant le monde, les couleurs et les animaux. « Ses yeux incitent à s’approcher d’avantage, le temps d’une conversation amicale. » racontaient les personnes ayant la chance de connaître cette adorable personne.


Cheveux : Akari détient une chevelure à la couleur magnifiquement rosâtre, tournant plus au alentour du rouge, un peu comme si la couleur de l’amour, n’ayant pas eu la place qu’elle souhaitait, avait décidé de déborder des cœurs abondants de la Saint-Valentin pour atteindre ses cheveux. Les plus longues de ses mèches roses lui arrivent dans le bas du dos alors que les plus petites ne dépassent pas ses oreilles. Des mèches encore plus courtes masquent derrière un rideau capillaire roses. La plupart du temps, elle les laisse pendre librement ou elles les attache en une gros chignon.


Taille/poids : Si Akari n’est pas spécialement grande, c’est à cause du fait que sa croissance s’est stoppée à quinze ans, laissant la jeune fille sur une taille d’un mètre soixante-cinq et quelques poussières de plus. Aka n’est pas grosse, ni trop musclée malgré les sports qu’elle aimait essayer à l’école, dans les clubs, ou en dehors. La silhouette de la jeune fille est dessinée comme s’il s’agissait d’une célèbre peinture à l’aquarelle malgré le fait que sa poitrine ne soit pas l’une des plus grosses poitrines, siliconées hors jeu, du monde. Ce qui correspond plus à Akari. Malgré cela, beaucoup de vieux messieurs aiment se pencher sur le passage la jeune fille pour espérer voir les courbes rondes de cette dernière.

Akari est conçue pour être une jolie fille à la peau très légèrement foncée. La demoiselle est loin d’être grosse ou courte sur patte, comme certains diraient, Akari a une taille fine, une taille mannequin avec une silhouette fuselée et une démarche gracieuse et féline. Un ventre plat et un déhanché souple et enviable mais tellement inaccessible ainsi que des formes très peu développées. Sa voix, douce et inaudible, tellement basse et tranchante, résonne aux oreilles de quiconque l’écoute. Une voix faible comme son corps aux aspects d’une fragilité sauvage. Akari a de longs cheveux roses lui arrivant au bas du dos. Ils n’ont absolument rien de particulier pas plus que ses yeux car voyez-vous, elle a les yeux azurs, ce qui fascine la plupart des gens.
Rien n’est parfait dans le visage de l’adolescente et pourtant il dégage une grâce sauvage et envoûtante à cause des yeux à la couleur du ciel. Un sourire angélique, parfois carnassier étire souvent son visage.
Les vêtements que porte Akari sont d’une banalité simple. Elle porte des chemises, des t-shirts et autres pulls, du moment qu’ils sont vifs en couleur et pas trop démodés. Il lui arrive même de porter des jupes, des robes ou des bermudas, ce qui n’est pas spécialement rare. Au font, Akari ressemble à n’importe quelles jeunes filles.

Sa description physionomique

Akari est d’un naturel méfiant et préfère en priorité, garder ses distances avec les gens avant de les connaître un peu mieux. Elle n’a pas une mentalité de barbie et se ne laisse que très rarement avoir par les ennemis dans des attrape-nigauds. Et pourtant, elle semble naïve, elle et son sourire joyeux et lumineux à souhait. On est presque sûr que si ses dents auraient pu être encore plus blanche, elles auraient aveuglé le monde. Akari change d’humeur comme de chemises, elle peut passer du mode souriante au mode « je-rale-même-si-on-m’a-rien-fait » Mais souvent, ça ne dure jamais longtemps. Malgré tout, elle n’a jamais hésité à frapper quelqu’un si elle est à bout de nerfs.

A première vue, elle semble douce et tranquille mais derrière cette image se cache une demoiselle déterminée et têtue. Elle peut également être froide et hautaine avec les gens qu’elle n’apprécie pas, dans ce cas, ils peuvent être nombreux. On traite souvent Akari de fille naïve et tordue, hors, il n’en est rien. Elle est plutôt pacifiste, qui aspire à la paix. Le seul défaut qui pose problème, c’est qu’elle peut vraiment être casse pied quand elle veut savoir un truc. Et ouais, c’est la vie chérie…Toujours souriante et d’une bonne écoute, Akari n’a pas de mal à se faire des amies et amis. On voit souvent en elle un côté optimiste et attentionné envers les autres, toujours prête à les accueillir à bras ouverts. C’est d’ailleurs elle que les nouveaux arrivant à Togenkyo voient en premier. Elle reste assise à leur chevet, le nez plongé dans des romans, et cela pendant des heures, voir, des jours. Akari pense comme elle veut. Si elle veut penser au mal, voir la vie en noire, elle le fera. Mais si elle veut voir du rose et des lapinours partout, c’est ce qui se passera. Dans sa tête.

Akari, comme toutes personnes normales en ce monde, a un animal préféré ! La mouette. Bah ouais, vous n’avez jamais regardé les mouettes à la plage ? Leurs ailes blanches se dépliant au vent, une allure altière et sereine, se laissant guider par son instinct et par sa seule volonté. N’est-ce pas merveilleux ? Akari se dévoue également aux canards, qu’ils soient vivants, dans nos assiettes ou en plastique. Akari adore les animaux, particulièrement les mouettes, les canards et les chats. En fin de compte, elle n’est peut-être pas si folle que ça. Mais une chose arrive à inquiéter Akari : les batraciens. Elle pique une crise dès qu’elle croise un têtard, fond en larmes quand elle voit une grenouille et manque de tomber dans les pommes quand elle croise un crapaud. Ne cherchez pas pourquoi, ça date de loin et elle-même, à la mémoire d’éléphant, ne s’en souvient plus.

Autres

Passe-temps/hobbys: Akari aime lire. Dès qu'elle n'a plus rien à lire, elle se met en quête de lecture chez les habitants de Togenkyo. Elle aime également le patron : Mist. Elle ne l'a croisé que deux fois et ces deux fois suffirent à faire mourir son coeur d'amour. Son passe-temps préféré est d'errer dans la ville comme une âme en peine pour finir sur les bords du fleuve. °°
Particularités: Elle a une sainte horreur des batraciens.

~Derrière l’ordinateur~
Car il y a normalement quelqu’un

Prénom: Leenette
Age: 14 ans
Niveau Rp: Ca dépend de la personne
Comment avez-vous connus le forum? (et oui, ça nous intéresse de savoir si il est connu ): La fondo
Suggestions/remarques: Rien

Bon et pour clore votre présentation, une question TRES importante: Combien de fois notre cher Mist (Alias Mistigri ~) a eu le droit à son //SBAAAFF// lors de sa présentation du règlement? ~ >Bonne réponse ma p'tite Leenette!<

T'inquiète ! Je pense avoir vite fini !
Il ne me reste que la fin de l'histoire !

Pom Pom te remercie ♥

Et Pom Pom veut bien un logement et un titre ♥
Titre > Le chapeau volé (A)

Logement > Un petit studio dans le quartier résidentiel ? **

Merci Merci ♥

Encore Merci ♥